[b]Dylan Sarah Jefferson. Voilà mon identité. Je viens d’avoir 28 ans, pour certains c’est jeune mais dans le fond j’ai la sensation d’être bien vielle. Il c’est passé tellement de choses dans ces vingt huit ans. Bien que je ne pourrait pas tout vous résumer mais je vais tenter de vous expliquer mes bases afin que nous fassions un minimum connaissance. Alors voilà c’est par un après midi d’été que je vis le jour à New York. J’étais un joli bébé il paraît. Mais de toute manière un bébé c’est un bébé ils se ressemblent tous. C’est à l’âge de deux ans que je connus mes premières difficultés au niveau santé. À partir de là les médicaments et l’hôpital sont devenus deux choses familière. Au début je détestait me retrouvé enfermé dans une chambre de 5 mètre sur 5 mais après on s’y fait relativement bien. On s’habitue. Se n’est pas ici que je vous parlerais de mes problèmes car ils sont secondèrent je les ai toujours mis dans un second plan. Il ne faut pas s’arrêter au fait d’avoir des soucis de santé. La vie il faut en profiter, il faut la croquer à pleine dents. J’étais une gamine qui aimait beaucoup sortir avec ses amis et faire la fête. Cette gamine est toujours là dans un coin, elle ne demande qu’à se réveiller, qu’à ce que j’y laisse un peu de liberté. Je ne suis plus une enfant, avec les années je suis devenue une jeune femme travailleuse mais surtout avec une forte tête. C’est sûrement grâce à cela que je suis arrivé à devenir infirmière. J’ai travaillé à New York en tant qu’infirmière. Je n’oublierai jamais ces années là. C’est là bas que j’ai fais la rencontre de James. J’avais tout pour le détester, il était si différent de moi, il était ce que nous pouvons qualifier de coureur de jupons de première classe, mais au fil des mois nous sommes devenus amis. Bien sur entre amis il existe certains secret. Par exemple il n’a jamais sus grand chose de mon passé on se contenté de blaguer sur le moment présent d’être là l’un pour l’autre pour discuter face aux dures journées et il y a eut ce fameux jour, enfin fameuse nuit où nous avions besoins de décompenser l’un et l’autre. Qu’elle est la meilleure façon de le faire? Une bonne bouteille ça aide pas mal. Je ne suis pas le genre de femme qui se laisse enivrer facilement mais ce soir là j’en avais vraiment besoins. L’alcool rend certaines personnes folles, cette substance à la capacité de débrider les sentiments également. Un verre après un autre nous nous sommes laissé aller, nous avons finis par passer la nuit ensemble. Je dois dire que cette expérience me laisse un léger gout amer dans la bouche. Les jours qui ont suivis nous nous sommes évité avec James puis un jour il n’était plus là, son casier était vide, son nom n’était plus au tableau. J’appris qu’il avait accepté un poste dans un autre hôpital. Je lui en est voulus d’être partis comme cela sans me laisser un message, mais dans la vie il faut aller de l’avant, j’ai décidé de retourner aux études. Avec l’argent que j’ai mis de coté j’ai pus me les payer. Aujourd’hui mon internat commence. Une nouvelle vie, une nouvelle page qui se tourne. J’ai été intégrer dans l’Arkansas, une nouvelle ville, un nouveau départ où personne ne me connaît. Où j’allais vraiment pouvoir recommencer à zéro m’offrir un nouveau départ. Du moins c’est ce que je croyais avant de recevoir cet appel sur mon portable me disant que je devais prendre le temps d’aller à l’hôpital au vu de mes dernières analyses qui montre que mes problèmes de santé sont entrain de revenir. Mais je n’ai pas l’intention de les laisser gagner. Non je suis plus forte qu’eux. Aujourd’hui c’est l’internat, je ne suis plus une enfant. Combien de temps vais je pouvoir jouer à l‘autruche, Je ne sais pas mais pour le moment je n’ai pas envie de me prendre la tête. Je veux vivre ma vie un point c’est tout.